Poly tics.
Le pot aux roses très mièvres.
Ils sont fiers comme Artaban, calent
Ils voudraient appliquer la politique de l'autre ruche
Mais c'est du pipeau de chagrin
Alors qu'il faudrait prendre des mesures draconiennes, rieuses
Remettre le couvert, et rouge
Accorder leurs violons, en large
Ils mettent le feu aux poudres, escampettes
Avec leurs élections du bois
Mais c'est l'arbre qui cache la forêt, au milieu
Le véritable problème, haine, opé..,
Ce sont les idées à jouer
C'est le bouquet des brumes
Ils ont ouvert la boite de Pandore, et déjà...
Le parti, chaud,
N'est plus solide comme un roc, Trédudon ?
Attentat ? Debout !
Au dessus de leur tête de pioche
Une épée de Damoclès de 12
Ils ne l'emporteront pas au paradis roses
Ils sont au bout du rouleau de printemps
Tout seuls, Ils s'enlèvent le pain de la bouche, dégout
La pomme de discorde doit sauter
Et pour rendre, de but en blanc, et noir
La monnaie de sa pièce, montée
A l'omni-président de lait
Lui clouer le bec benzène
Pour décrocher la timbale du samedi soir
C'est une autre paire de manches, à air !
Il faudrait prendre les problèmes à bras le corps, sage
Qu'ils écoutent que coûte
Leurs adhérents d'oignons
Eux en viennent aux mains dans les poches
Essaient de noyer le poisson d'avril
Jouent du pipeau de vache
Et leurs oreilles à tous sifflent, les Verts
Ils ne sont pas à la veille de porter un toast au raisin
sb.13.09.2009 Accueil